Les phénomènes météorologiques extrêmes coûtent (très) cher. Greenpeace publie aujourd’hui un rapport sur le coût des événements climatiques extrêmes.
En 2023, le coût de ces catastrophes dans le monde s’est élevé à 301 milliards de dollars. D’ici à 2050, le changement climatique pourrait être responsable de 14,5 millions de décès et de 12 500 milliards de dollars de pertes dans le monde.
Une question cruciale se pose : qui paie la facture de ces catastrophes ? Dans certains cas, l’État peut intervenir, mais les indemnisations font peser une charge excessive sur les finances publiques et les contribuables alors que les responsables du chaos climatique, à savoir les grandes entreprises des énergies fossiles, ne mettent pas la main à la poche. Ce n’est ni durable ni juste.
La crise climatique compromet la viabilité du système d’assurance
La solution : faire payer les pollueurs
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